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Hello 👋 Je suis Johann et voici mon blog.
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Cette une du journal Lausanne Cités, en date du 24 avril 2025, aurait pu passer inaperçue. Une de plus sur le dysfonctionnement d’un service public. Et pourtant, elle dit tout.
"Profond malaise à la direction de l’enfance".
Et en page 3 :
"Protection des mineurs : deux ‘repenties’ brisent l’omerta".
Deux anciennes assistantes sociales dénoncent les pratiques internes de la Direction générale de l’enfance et de la jeunesse (DGEJ).
Ce qu’elles révèlent est glaçant : culture de l’opacité, surenchère de signalements infondés, surcharge administrative, décisions prises dans le doute ou sous pression, enfants déplacés sans fondement clair... et surtout:
l’instrumentalisation de la machine administrative par des parents manipulateurs, au détriment des pères et des enfants eux-mêmes.
Ce malaise n’est pas local. Il est systémique. Et il est européen.
Bien sûr, l’article parle de Lausanne. Mais ces dysfonctionnements ne s’arrêtent pas aux frontières suisses.
Ce que ces professionnelles décrivent, des milliers d’hommes le vivent en France, en Belgique, au Canada, et ailleurs en Europe.
Les services sociaux sont débordés. Les procédures sont standardisées et dans le doute, on préfère écarter le père.
Par précaution.
Par automatisme.
Par peur du scandale.
Mais cette peur a un coût !
Et ce coût, ce sont des pères évincés sur simple accusation.
Des enfants privés de lien.
Des décisions prises dans l’urgence ou la confusion.
Un malaise systémique partout dans le monde occidental
“Si une mère accuse le père de violence ou d’abus sexuels, la machine se met en branle”
Cette phrase, tirée de l’article, résume tout.
Même quand il n’y a aucun élément concret, aucun antécédent, aucune plainte, aucune preuve… il suffit parfois d’une dénonciation pour que tout s’enclenche : enquête, éloignement, suspension des droits, assignation de l’enfant, blocage du contact, suspicion permanente.
Et pendant ce temps, les vraies situations de danger passent à la trappe !
Parce que le système est saturé.
Parce qu’il ne sait plus faire la part des choses.
Parce qu’il est manipulé.
La machine se met en branle systématiquement
Quand la parole masculine ne vaut rien
Si un père se défend, il est vu comme agressif.
S’il se tait, il est vu comme indifférent.
S’il insiste, il est vu comme dangereux.
S’il pleure, il est vu comme faible.
Bref : quoi qu’il fasse, il est déjà coupable.
Parce qu’on regarde la paternité à travers le filtre du soupçon !
Et cette culture du soupçon n’est pas une précaution. C’est une déshumanisation.
Peu importe la réaction elle sera mal interprétée
Quand certains parents manipulent le système, ce sont les vraies victimes qui en paient le prix
Ce qui ressort aussi de cet article, c’est que les mères qui utilisent la justice et les services sociaux pour nuire à leur ex-conjoint font du tort aux vraies victimes.
Celles qui subissent vraiment des violences. Celles dont les enfants sont réellement en danger.
Parce que chaque signalement abusif désorganise tout.
Il mobilise les ressources. Il brouille les priorités. Il crée du bruit dans le système.
Et ce bruit, ce sont les cris des enfants qu’on n’entend plus.
La multiplication des dossiers encombre les services
Alors, que fait le pouvoir public ? Que fait la politique ? Que faisons-nous, collectivement ?
Ce malaise, ce n’est pas une anecdote locale.
C’est un signal d’alarme.
Un de plus.
Il est temps de changer le regard sur les pères.
De rééquilibrer les approches.
D’exiger des procédures plus rigoureuses, plus humaines, plus équitables.
Il est temps de réaffirmer que la place du père est essentielle, y compris en cas de séparation.
Et surtout, il est temps que les institutions cessent d’être les complices involontaires des manipulations familiales.
Parce que quand un système censé protéger les enfants devient lui-même un facteur de risque, alors c’est toute la société qu’il faut interroger.
Et ça commence ici.
En osant regarder ce que beaucoup préfèrent encore ignorer.
💬 As-tu vécu une injustice dans un service d’aide à l’enfance ?
Ton témoignage compte. Écris-moi ou partage ton histoire : ensemble, faisons bouger les lignes.
🔎 Pour aller plus loin, explore les autres articles sur L’amour d’un papa consacrés aux institutions, à l’aliénation parentale et à la place du père.
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Parce qu’un père écouté, c’est un système qui commence à guérir.
Tu traverses une séparation difficile ? Ne perds pas pied.
🔥 Ne laisse pas cette épreuve te détruire.
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À PROPOS
Après avoir traversé l'une des périodes les plus sombres de ma vie, j'ai tout perdu.
J'ai voyager et découvert le monde, entrepris un travail de développement personnel et de compréhension de l'Humain.
J'ai choisi de vivre et de faire une force de ces difficultés.
Aujourd'hui, je raconte ma vie pour aider ceux qui, comme moi, doivent surmonter une rupture dévastatrice et la perte de lien avec leur famille.
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