À propos
Hello 👋 Je suis Johann et voici mon blog.
J'adore écrire, passer du bon temps et le soleil !
Tu traverses une période floue ? Tu sens qu’il y a un appel en toi, quelque chose de plus grand à comprendre ou à transmettre ?
🔍 Je t’invite à vivre un rendez-vous unique pour faire le point, recevoir des clés puissantes et éclairer ton chemin de vie.
C'est ici 👇
Introduction
J’avais envie de vomir.
Dès le début, j'ai eu un sanglot impossible à réprimer.
C’était exactement ce qui m’était arrivé.
Ses yeux.
Cette attitude.
Cette confiance en elle qui lui donne un côté “charmant” et “sympathique”.
Cette capacité à donner confiance à l’autre quand elle se sent valorisée.
Sa folie destructrice même envers elle-même quand elle n’obtient pas ce qu’elle veut.
Et l’autre idiot qui se demande où il est tombé.
Il s’est montré empathique et va le regretter toute sa vie.
Elle s’est accroché à lui comme une moule à un rocher.
Elle ne le lâchera plus.
Et chaque fois qu’elle se montre en position de faiblesse, il replonge et le schéma recommence.
Trop d’empathie. Trop d’humanité.
Et une malade mentale qui te persécute.
La série Netflix s’appelait “Mon Petit Renne” (Baby Reindeer en anglais).
Elle venait de me donner une leçon sur ma propre vie.
"Mon Petit Rennes" sur Netflix
Une révélation
J’en ai été bouleversé pendant des jours.
Cette histoire, c'était la mienne en partie.
C’est ce que je vivais depuis 4 ans.
Ou plutôt 20 ans si je suis honnête avec moi-même.
Comment en étais-je arrivé là ?
C’est la question qui m’a hanté pendant des jours après avoir vu cette série.
20 ans que j’étais le gros poulet.
Le mec gentil qui croit avoir trouvé l’amour parfait.
Je ne m’en étais pas rendu compte.
L’idiot, c'était moi depuis le début.
Et mon égo m’avait empêché de le reconnaitre parce que j’enchainais les “succès”:
d’abord journaliste TV (mon rêve de gosse)
ensuite entrepreneur pendant 15 ans.
Une vie parfaite :
3 enfants que j’adorais par-dessus tout,
3 sociétés qui me permettaient de vivre confortablement,
3 bâtiments (et bientôt plus) qui allaient me permettre de payer ma pension.
J’étais inarrêtable, infatigable.
Je brulais la vie par les deux bouts.
“Après tout, on n’a qu’une vie” me disais-je.
Autant la vivre à fond.
Putain d’égo !
Il m’en a joué des tours celui-là.
Moi, avant...
Un destin tout tracé ?
Il faut dire que depuis tout petit, je savais ce que je voulais.
Ou ne voulait pas.
Et je voulais comprendre la vie, les gens, découvrir le monde, aller là où les autres ne vont pas.
Dans les coulisses.
Voir ce qui est caché.
Comprendre.
Découvrir.
Et quel meilleur métier pour faire ça à part journaliste ?
Un journaliste, ça part à l’aventure.
Ça pose des questions.
Ça lève le voile sur l’inconnu.
Et ça permet aux autres de voir le monde différemment.
Un petit côté professeur aussi.
Un peu comme mes parents qui ont été profs toute leur vie.
Des gens bien mes parents.
Ils ont fait ce qu’ils devaient faire.
Ils m’ont nourri, logés, blanchis et permis de faire des études.
Ces fameuses études de journalisme qui allaient m’ouvrir les portes de la découverte.
Découverte que j’allais pouvoir enseigner au “monde”.
Journaliste - présentateur TV: mon rève d'enfant atteint à 24 ans.
Un monde qui s'écroule
Un quart de siècle plus tard, je me suis pris le monde dans la gueule.
Mon monde s’est écroulé.
Ce qui me semblait indestructible, ma carrière, ma famille, mon avenir, tout est parti en fumée en un claquement de doigts.
À cet instant, j’ai voulu tout arrêter.
Je n’étais plus rien.
J’ai tout perdu.
J’ai voulu mourir.
J’ai survécu.
Au fond du trou, j’ai vu la Lumière.
J’ai retrouvé une envie de vivre.
Et cette envie de raconter les coulisses, ce qui est caché.
Cette fois-ci, ce sont les coulisses de ma propre vie que j’explore pour comprendre.
Pas la vie des “autres”.
Celle que j’expliquais aux infos et que, intérieurement, je plaignais d’un regard compatissant en me disant que ma vie était parfaite.
Je pensais comprendre la vie des autres, mais j’étais aveugle à la mienne.
Je n’ai pas vu ce qui se cachait sous la surface, et ça, c’est la vérité la plus douloureuse à admettre.
MON histoire.
Celle qui commence comme dans un conte de fée et se termine par…
En fait, elle n’est pas finie mon histoire, mais je vais déjà te raconter le début.
Et le début, il remonte aux années 80.
“Tu te souviens ?
Les survets et les houpettes ?
Sabrina et 7sur7 ?”
Merci d’avoir choisi ce livre.
J’espère qu’il t’évitera de faire les mêmes erreurs que moi.
Je te souhaite une bonne lecture.
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À PROPOS
Après avoir traversé l'une des périodes les plus sombres de ma vie, j'ai tout perdu.
J'ai voyager et découvert le monde, entrepris un travail de développement personnel et de compréhension de l'Humain.
J'ai choisi de vivre et de faire une force de ces difficultés.
Aujourd'hui, je raconte ma vie pour aider ceux qui, comme moi, doivent surmonter une rupture dévastatrice et la perte de lien avec leur famille.
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