À propos
Hello 👋 Je suis Johann et voici mon blog.
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Je suis sorti de cette réunion du SAJ en larmes.
Vidé.
Humilié.
Et surtout, déchiré par une colère sourde que je n’avais aucun droit d’exprimer. Parce que si je m’énerve, je deviens "le père agressif". Parce que si je pleure, je passe pour un faible. Et si je me tais, je cautionne leur violence.
Alors j'écris.
Ce que j’ai vécu, beaucoup de pères le vivent.
Cette sensation d’être traité comme un suspect, un danger potentiel, un homme à surveiller. Cette réunion au SAJ, pourtant convoquée "dans l’intérêt des enfants", était en réalité un tribunal silencieux où tout était déjà joué d’avance.
Une réunion de sept minutes, où ma voix n’a pas compté.
La violence institutionnelle, c’est quoi ?
C’est quand une structure censée protéger devient une machine froide et sourde.
Quand on te convoque sans t'écouter. Quand tes paroles sont retournées contre toi. Quand on t’empêche de poser des questions légitimes sous prétexte que tu n’as plus l’autorité parentale. Quand tu es jugé sur des préjugés et non sur des faits.
On parle de "bien-être des enfants", mais à aucun moment le bien-être du père, sa douleur, son expérience ou même ses droits ne sont pris en compte.
On te laisse entrer par tolérance, pas par reconnaissance. Et ça, c’est déjà un signe qu'on ne te voit pas comme un parent à part entière.
Et cette violence ne s’arrête pas à moi. Elle touche aussi ceux qui m’aiment, qui me soutiennent. Ma compagne, qui a osé être à mes côtés, en a fait les frais.
Non seulement on me met des bâtons dans les roues, mais en plus, on s’en prend à elle, comme si avoir un appui était un crime. Comme si le simple fait d’être accompagné, de vouloir se défendre, devenait une faute.
Le fait qu’on tolère à peine sa présence, tout en lui interdisant de s’exprimer – simplement parce que ses mots me protègent et remettent en question leur version – est révélateur de l’absurdité totale du système.
Et la menacer de la faire sortir juste parce qu’elle me rappelle mon droit de contacter mon avocat ? C’est une dérive inquiétante.
Quand la parole est muselée, quand la présence est criminalisée, quand le soutien devient suspect, alors oui, la violence devient institutionnelle. Et elle est tout aussi destructrice que celle qu’elle prétend combattre.
Quand l’empathie devient une faiblesse
J’ai parlé de mes enfants. De leur douleur. De l’impact émotionnel et matériel de la perte de leur mère. J’ai voulu expliquer la situation financière, la vente de la maison, l’impact que cela pourrait avoir sur leur stabilité.
Mais rien.
On m’a renvoyé à la figure que je voulais "les mettre à la porte".
Comme si je voulais nuire à mes propres enfants.
Comme si ma parole était suspecte dès qu’elle sortait de ma bouche.
Et quand j’ai tenté d’aborder des sujets délicats – comme des comportements inquiétants de leur mère ou même des doutes sur la paternité – la réunion s’est arrêtée.
On m’a mis dehors.
L'abandon
La réaction d’un homme brisé
Je suis sorti de là avec une seule envie : frapper. Hurler. Détruire quelque chose pour faire taire la douleur. Et si j’avais encore été sous emprise de l’alcool ou d’autres dépendances, j’aurais replongé.
C’est exactement ce genre de situation qui pousse un homme à l’autodestruction.
Parce que c’est une injustice pure. Une injustice froide, codifiée, validée par des gens qui se disent "protecteurs".
Mais cette fois, j’ai tenu. Parce que je sais que la seule arme que j’ai, c’est ma parole. Mon histoire. Mon témoignage.
Et peut-être aussi celui de tous les autres pères qui, comme moi, ont été rejetés, déconsidérés, rendus invisibles.
L'injustice de la "justice" face aux pères
Comment réagir face à cette violence ?
Conclusion : Ils ne m’auront pas vivant
Je ne peux pas forcer mes enfants à m’aimer, ni changer le passé. Mais je peux être debout. Je peux refuser cette identité de "père toxique" qu’ils veulent m’imposer.
Ce que j’ai vécu, ce que d’autres vivent, ce n’est pas une exception. C’est un système entier à remettre en question.
Et tant que je pourrai poser des mots sur cette douleur, ils ne m’auront pas vivant.
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À PROPOS
Après avoir traversé l'une des périodes les plus sombres de ma vie, j'ai tout perdu.
J'ai voyager et découvert le monde, entrepris un travail de développement personnel et de compréhension de l'Humain.
J'ai choisi de vivre et de faire une force de ces difficultés.
Aujourd'hui, je raconte ma vie pour aider ceux qui, comme moi, doivent surmonter une rupture dévastatrice et la perte de lien avec leur famille.
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